Les toits dont la pente est inférieure à 1 : 6 requièrent une membrane hydrofuge, laquelle consiste habituellement en une ou deux couches d’une membrane bitumineuse dont les joints sont chevauchés et soudés, en une membrane autocollante, en une membrane renforcée liquide ou en une membrane caoutchoutée de type EPDM (terpolymère d’éthylène-propylène-diène). En raison de leur faible pente, ces toits n’évacuent pas l’eau aussi aisément que les toits à forte pente, ce qui requiert la pose d’une membrane résistante et entièrement hydrofuge.

Source : Société canadienne d’hypothèques et de logement (SCHL)